I promise never more to complain about Google – the search engine that is, not the company behind it.   Je promis de ne plus jamais me plaindre de Google – le moteur de recherche, pas la société derrière.
As Joni Mitchell sang for us, « You don’t know what you’ve got till it’s gone” (Big Yellow Taxi)   Comme Joni Mitchell nous a chanté, « on n’apprécie ce qu’on a que quand on ne l’a plus ».
Our favourite search engine keeps getting supplanted in our IT equipment by inferior copies with names either evocative (Babylon) or down to earth (Search.Conduit).   Notre moteur de recherche préféré ne cesse de disparaître de nos ordinateurs au profit de copies inférieures aux noms évocateurs (Babylon) ou terre-à-terre (Search.Conduit).
We go to ‘Parameters’ (or is that Settings?), set Google by default, delete the usurper.   On accède aux Paramètres, on met Google ‘par défaut’, on supprime l’usurpateur.
All in vain.   Rien n’y fait.
Numerous web surfers encounter the same problem and the eventual recommended solution is to download some software, which is free (at first…)   De nombreux internautes rencontrent le même problème et la solution finalement préconisée est de télécharger un logiciel ‘gratuit’ (dans un premier temps…)
Makes you wonder what somebody’s making out of it.   On se demande à qui profite ce genre de manœuvre.
I even wonder if maybe Google (the company not the search engine) isn’t mixed up in it.   Je me demande même si Google (la société, pas le moteur de recherche) n’y est pas pour quelque chose.
Babylonian captivity
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